Encore une fois et après le sit-in observé en juillet dernier devant le siège de la Wilaya, des dizaines de souscripteurs au projet des 300 logements LPA confiés à l’Agence foncière de la wilaya, se sont rassemblés hier devant le siège de cette direction, pour réclamer la reprise sérieuse des travaux.
En effet, selon les protestataires, lors de leur rassemblement en juillet dernier devant le siège de la Wilaya, le chef de cabinet qui a reçu une délégation représentant les protestataires, a expliqué que le retard est dû à la crise qui secoue l’Agence foncière restée depuis avril dernier sans directeur, après la suspension provisoire de ce dernier.
Le chef de cabinet avait promis aux protestataires d’y remédier le plus rapidement possible pour que le projet des 300 logements LPA, implantés dans quatre sites différents de la ville de Bouira soit relancé le plus rapidement possible.
Il faut dire que la patience des souscripteurs a atteint ses limites puisque ceux-ci, dont le projet date de 2013, ont été bernés à plusieurs reprises.
En effet, le projet des 300 logements LPA a été initialement inscrit en 2013. Or, pour des raisons bureaucratiques, celui-ci n’a démarré que courant 2016 pour une durée de réalisation de 30 mois. Là aussi, et juste après le démarrage, alors que les souscripteurs ont tous payé leur quote-part pour leurs logements de type F3 dont le coût global était arrêté à 280 millions avec une aide de l’Etat comprise entre 40 et 70 millions, des retards commençaient à se faire voir.
Dans certains sites, les travaux ont à peine démarré. Début 2018, alors que les délais impartis pour l’achèvement de ces logements, étaient arrivés à leurs termes, les taux d’avancement étaient compris entre 10% et 70%.
Aussi, et voyant qu’aucun site n’était achevé, les souscripteurs qui vivent depuis des années en location, se sont rassemblés d’abord en juillet dernier, devant le siège de la wilaya pour réclamer une solution définitive et efficace à leur problème.
Ils voulaient avoir des garanties de la part du wali, quant à l’achèvement de ce projet des 300 logements dans un délai bien précis afin qu’ils soient tranquilles. Lors de leur rencontre avec le chef de cabinet, une promesse quant à la reprise immédiate du projet par les entreprises, a été donnée par ce responsable qui n’a pas omis de rappeler à ses interlocuteurs, la difficulté de l’heure et la crise que traverse l’agence foncière.
Plus de deux mois plus tard, la situation est toujours la même. Hier, lors de leur rassemblement devant le siège de l’Agence foncière, ce fut le DG par intérim qui reçut les représentants des protestataires, auxquels il a promis la reprise des travaux et leur achèvement dans les plus brefs délais.
C’est tout ce que demandaient en fin de compte les protestataires : que le projet redémarre avec une cadence acceptable pour en finir rapidement avec le calvaire des locations.
Y. Y.
En effet, selon les protestataires, lors de leur rassemblement en juillet dernier devant le siège de la Wilaya, le chef de cabinet qui a reçu une délégation représentant les protestataires, a expliqué que le retard est dû à la crise qui secoue l’Agence foncière restée depuis avril dernier sans directeur, après la suspension provisoire de ce dernier.
Le chef de cabinet avait promis aux protestataires d’y remédier le plus rapidement possible pour que le projet des 300 logements LPA, implantés dans quatre sites différents de la ville de Bouira soit relancé le plus rapidement possible.
Il faut dire que la patience des souscripteurs a atteint ses limites puisque ceux-ci, dont le projet date de 2013, ont été bernés à plusieurs reprises.
En effet, le projet des 300 logements LPA a été initialement inscrit en 2013. Or, pour des raisons bureaucratiques, celui-ci n’a démarré que courant 2016 pour une durée de réalisation de 30 mois. Là aussi, et juste après le démarrage, alors que les souscripteurs ont tous payé leur quote-part pour leurs logements de type F3 dont le coût global était arrêté à 280 millions avec une aide de l’Etat comprise entre 40 et 70 millions, des retards commençaient à se faire voir.
Dans certains sites, les travaux ont à peine démarré. Début 2018, alors que les délais impartis pour l’achèvement de ces logements, étaient arrivés à leurs termes, les taux d’avancement étaient compris entre 10% et 70%.
Aussi, et voyant qu’aucun site n’était achevé, les souscripteurs qui vivent depuis des années en location, se sont rassemblés d’abord en juillet dernier, devant le siège de la wilaya pour réclamer une solution définitive et efficace à leur problème.
Ils voulaient avoir des garanties de la part du wali, quant à l’achèvement de ce projet des 300 logements dans un délai bien précis afin qu’ils soient tranquilles. Lors de leur rencontre avec le chef de cabinet, une promesse quant à la reprise immédiate du projet par les entreprises, a été donnée par ce responsable qui n’a pas omis de rappeler à ses interlocuteurs, la difficulté de l’heure et la crise que traverse l’agence foncière.
Plus de deux mois plus tard, la situation est toujours la même. Hier, lors de leur rassemblement devant le siège de l’Agence foncière, ce fut le DG par intérim qui reçut les représentants des protestataires, auxquels il a promis la reprise des travaux et leur achèvement dans les plus brefs délais.
C’est tout ce que demandaient en fin de compte les protestataires : que le projet redémarre avec une cadence acceptable pour en finir rapidement avec le calvaire des locations.
Y. Y.
jeudi 6 septembre 2018 à 16:03
Source de l’article : Lesoirdalgerie