Des habitants de la cité 2500 logements AADL – Aïn El Beïda site 1 – sont montés au créneau, encore une fois, pour dénoncer quelques problèmes vécus au quotidien. En guise de protestation, ils ont organisé, avant-hier, un sit-in devant l’école primaire.
«Nous demandons aux autorités locales d’intervenir pour régler le problème dès l’ouverture des établissements scolaires. Les travaux ont été achevés depuis l’année passée, mais il n’y a pas d’alimentation en énergie électrique.
Un problème qui doit être résolu par la SDO, en coordination avec l’AADL», dira Mohamed Keddar, président du comité de quartier. En plus de l’ouverture de cet établissement pour épargner à leurs enfants les déplacements vers les écoles d’Es-Sénia et d’Oran, les protestataires demandent aussi le lancement des travaux de réalisation du CEM et du lycée. Le problème du manque de transport a été aussi soulevé par les habitants de la cité 2500 AADL, sans oublier le non-raccordement de leur cité au réseau de fibre optique.
«Des réserves émises par Algérie Télécom n’ont pas été levées à ce jour. Conséquence, notre cité n’a pas encore été raccordée au réseau d’internet, l’agence d’Algérie Télécom n’a pas été ouverte. Idem pour l’annexe communale», ajoute notre interlocuteur. Les habitants notent aussi le problème d’accès à la cité, qui est fermé par la présence de la centrale à béton de l’entreprise en charge de la construction du reste du programme, juste entre le cimetière de Aïn El Beïda et la caserne militaire, ce qui les oblige à faire un long détour pour accéder à leur cité en passant par la cité 200 Logements d’Es-Sénia en prenant le 4e boulevard périphérique.
Source : Elwatan du 14.05.18