Les projets de logement promotionnel aidé (plus de 5500 unités) inscrits au profit des communes de la wilaya de Boumerdès font du surplace. A Figuier, le projet des 50 logements confié à l’entreprise El Maâmari entre dans sa quatrième année.
A côté, celui des 100 logements sort à peine des fondations, suscitant l’indignation des souscripteurs, dont certains dénoncent «le non-respect de la réglementation par le promoteur qui nous exiger le payement de la 2e tranche avant l’heure».
Même le programme des 400 LPA de la Sablière, confié à l’OPGI, connaît un retard de trois ans à cause du non-payement des entreprises engagées. A Bordj Menaïel, un seul chantier a démarré pour la réalisation de 130 logements, mais qui s’est arrêté depuis des mois, à un taux d’avancement d’à peine 10%, en raison des défaillances du promoteur.
Alors qu’à Naciria, le promoteur immobilier chargé de la réalisation de 100 logements à l’entrée de la ville est confronté à un problème de transfert de propriété qui ne trouve pas de solution, et ce, depuis 2012.
Dans la commune de Souk El Had, deux projets de 50 unités sont à la traîne devant l’incompréhension des bénéficiaires. Idem pour le programme des 150 logements de la plage de Sghirat, tout comme celui des 150 logements LPA à Chaâbet El-Ameur, dont les travaux n’ont pas encore démarré.
Source: el Watan du 12/03/2019