Les ménages pourront, en 2014, acquérir des produits informatiques, électroménagers et autres biens de large consommation produits localement, grâce au crédit à la consommation.
La tripartite du 23 février a inscrit sept points à l’ordre du jour de la rencontre : l’abrogation de l’article 87 bis ainsi que du Pacte économique et social, l’adoption de 39 mesures pour encourager la production nationale, le dialogue social comme indicateur civilisation, le dossier de l’habitat et de l’urbanisme, financement de l’investissement public et privé, le dossier encadrement de l’acte de gestion.
Le plus important dossier concernant les travailleurs sera, sans doute, l’abrogation de l’article 87 bis. Elle touchera 2 millions de travailleurs qui touchent actuellement le SNMG, c’est-à-dire 18 000 DA : un million de la Fonction publique et un million du secteur économique (entreprises publiques et privées. À leur SNMG s’ajoutera les indemnités. Plus précisément, “les agents d’exécution de la catégorie 1, 7 ou 8 bénéficieront de cette décision. Leur augmentation est évaluée entre 30 et 40% du salaire minimum. Cette mesure a de fortes chances d’être décidée par la tripartite du 23 février”, a indiqué, Achour Telli, secrétaire national chargé des conflits à l’Ugta. Un texte est déjà prêt.
Reste à approuver, au cours de la tripartite, les mécanismes pour que cette mesure n’ait pas de répercussions négatives sur l’économie nationale ainsi que la date d’effet de la mesure, a-t-il ajouté. Dans une seconde étape, cette augmentation des salaires touchera les agents de maîtrise ; ces derniers auront les mêmes salaires que ceux d’exécution. La tripartite du 23 février veut aller plus loin, elle veut redéfinir la politique des salaires, qui sera désormais davantage liée à la productivité, la protection du pouvoir d’achat et l’inflation annuelle, affirme Achour Telli. Le dossier habitat prévoit une série de mesures à adopter au cours de la tripartite pour accroître le nombre de logements construits annuellement par les entreprises algériennes.
Un quota plus important leur sera accordé dans le cadre des différents programmes publics : social, AADL… Des allègements de taxes fiscales et parafiscales leur seront octroyés. Cet ensemble de mesures visent à créer un grand nombre d’emplois dans le secteur, à rendre le logement moins cher et l’offre de logement plus conséquente au profit des salariés.
Quant à l’encadrement de l’acte de gestion, la tripartite décidera, sans doute, de la dépénalisation de l’acte de gestion. Cette mesure vise à protéger le cadre gestionnaire honnête lorsqu’il prend des risques de gestion. Elle exclut les gestionnaires impliquées dans des actes de corruption avérés.
Le plus important dossier concernant les travailleurs sera, sans doute, l’abrogation de l’article 87 bis. Elle touchera 2 millions de travailleurs qui touchent actuellement le SNMG, c’est-à-dire 18 000 DA : un million de la Fonction publique et un million du secteur économique (entreprises publiques et privées. À leur SNMG s’ajoutera les indemnités. Plus précisément, “les agents d’exécution de la catégorie 1, 7 ou 8 bénéficieront de cette décision. Leur augmentation est évaluée entre 30 et 40% du salaire minimum. Cette mesure a de fortes chances d’être décidée par la tripartite du 23 février”, a indiqué, Achour Telli, secrétaire national chargé des conflits à l’Ugta. Un texte est déjà prêt.
Reste à approuver, au cours de la tripartite, les mécanismes pour que cette mesure n’ait pas de répercussions négatives sur l’économie nationale ainsi que la date d’effet de la mesure, a-t-il ajouté. Dans une seconde étape, cette augmentation des salaires touchera les agents de maîtrise ; ces derniers auront les mêmes salaires que ceux d’exécution. La tripartite du 23 février veut aller plus loin, elle veut redéfinir la politique des salaires, qui sera désormais davantage liée à la productivité, la protection du pouvoir d’achat et l’inflation annuelle, affirme Achour Telli. Le dossier habitat prévoit une série de mesures à adopter au cours de la tripartite pour accroître le nombre de logements construits annuellement par les entreprises algériennes.
Un quota plus important leur sera accordé dans le cadre des différents programmes publics : social, AADL… Des allègements de taxes fiscales et parafiscales leur seront octroyés. Cet ensemble de mesures visent à créer un grand nombre d’emplois dans le secteur, à rendre le logement moins cher et l’offre de logement plus conséquente au profit des salariés.
Quant à l’encadrement de l’acte de gestion, la tripartite décidera, sans doute, de la dépénalisation de l’acte de gestion. Cette mesure vise à protéger le cadre gestionnaire honnête lorsqu’il prend des risques de gestion. Elle exclut les gestionnaires impliquées dans des actes de corruption avérés.
source: liberté