Contrairement à ce que prétendent les services de l’AADL, où il est officiellement obligatoire que les handicapés bénéficient de logements dans les étages inférieurs, certaines personnes aux besoins spécifiques continuent de souffrir le martyre à cause d’une aberration qui semble ne pas avoir de solution.
M. B. H., 42 ans, handicapé à 80%, ne cesse de taper à toutes les portes pour que l’AADL lui accorde un échange, en vain. Il n’est pas le seul handicapé à être dans cette situation contraignante.
«En dépit de mon handicap, l’AADL n’a pas trouvé mieux que de m’octroyer un logement au cinquième étage !
Depuis 2013, j’ai vu avec plusieurs responsables, qu’ils soient à la direction générale de Saïd Hamdine ou à Blida, mais aucune suite n’a été donnée à mes nombreuses requêtes», regrette-t-il.
EL watan du 26.02.2020